Puis le jour, puis l’ombre, puis la nuit.
La nuit nous vérifions nos fondations avec des mots doux.
J’éclaire les enfants qui viennent au monde.
Je pose l’index sur les étangs striés — avec retenue
— ceci n’est pas un rêve,
je ne voudrais pas me tromper.
J’éclaire les enfants qui viennent au monde.
Je pose l’index sur les étangs striés — avec retenue
— ceci n’est pas un rêve,
je ne voudrais pas me tromper.
Poème envoyé au dos d'une carte postale pendant le confinement / Écrit en piochant dans le florilège des ( ) de jour, => http://vg-dejour.blogspot.com
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