4.08.2015

Rien que du géographique


Fin du lac, début d'autre chose
Je comprends seulement maintenant cette évidence :
il m'a fallu marcher dans chacun de mes livres - le corps a nécessairement parcouru ces espaces

D'où revenir ?
Où poursuivre ?

Il est question d'un endroit où projeter une suite comme du simple déplacement d'un établi pour dessiner

Propositions d'horizons
Au cœur du lieu, l'ouverture d'un possible,
fragile recommencement

La pierre sur laquelle j'ai posé le pied a basculé dans la rivière aujourd'hui
sol sable — avec quel équilibre se déplacer entre deux textes ?
passer au dessin, toucher au papier, reposer le mental
chercher appui demain ?

Un pas n'est rien d'autre qu'une articulation entre ici et ailleurs.


Merci à Nathanaël Gobenceaux, son texte sur Les Lignes du Monde (& ci-dessous)
à Mathilde Roux pour son travail, 
aux bibliothécaires et aux publics qui ont suivi notre trajet autour du lac 
à Arnaud de la Cotte pour tout le travail, l'accompagnement, l'enthousiasme.




























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